L'appel de la liberté à été plus fort.
Et oui la jeunesse n'est pas éternelle et il faut profiter de la vie, courir après le temps qui passe, prendre tout ce qu'il y a à prendre. (cf Mon article Génération Fast love: les origines). Mais quoiqu'on y fasse il continue de défiler et la peur de vieillir n'empêche pas le sablier de s'écouler.
Alors, on peut se demander: si la peur de l'engagement représente en réalité la peur de vieillir, est il préférable de vieillir seul?
"Mieux vaut être seul que mal accompagné" comme le dit le dicton et c'est vrai que c'est tentant d'un coté; pas de risque de conflit sur le choix de la décoration de l'appartement et de voir ainsi trôner au dessus de la cheminé les sabres laser de Star Wars, ou bien les coussins Hello Kitty dans la chambre. Pas de chaussettes qui trainent ni de traces d'urine sur la cuvette ses WC et pas de crises de jalousie hystériques de Madame.
Mais surtout pas de compte à rendre, aucune obligation envers l'autre et du temps libre pour soi. Et pour les amis. Des amis avec qui s'amuser et sortir tant qu'on le peut. Mais qu'advient-il de nous quand on ne peut plus? Quand le temps nous rattrape et nous murmure que la jeunesse est fini. Quand le visage se flétri et le corps se fatigue. Qu'advient-il une fois que les amis s'évanouissent un à un et que la famille disparait?
La vie est loin d'être un long fleuve tranquille et parfois, il faut l'admettre, on est pas trop de deux pour la supporter, avec son lot de problèmes, de factures impayés et de drames. Sans une épaule sur laquelle pleurer et juste "sa chemise pour se moucher", difficile de trouver du réconfort. Heureusement, la vie offre aussi plein de bonnes surprises avec son lot de bonheur et de joie, mais sans personne avec qui les partager, quel intérêt?
La plupart des anciens s'accordent à dire qu'il est plus facile de vieillir et d'avancer sur la route de la vie avec quelqu'un pour nous tenir la main, nous guider, nous montrer d'autres chemins, nous retenir lorsqu'on trébuche et pour apprécier la balade encore plus.
Mais comme disait un vieil ami à moi: c'est maintenant que tu vis, pas quand t'es vieux! la vieillesse on s'en occupera plus tard...quand on sera vieux!"
"Mieux vaut être seul que mal accompagné" comme le dit le dicton et c'est vrai que c'est tentant d'un coté; pas de risque de conflit sur le choix de la décoration de l'appartement et de voir ainsi trôner au dessus de la cheminé les sabres laser de Star Wars, ou bien les coussins Hello Kitty dans la chambre. Pas de chaussettes qui trainent ni de traces d'urine sur la cuvette ses WC et pas de crises de jalousie hystériques de Madame.
Mais surtout pas de compte à rendre, aucune obligation envers l'autre et du temps libre pour soi. Et pour les amis. Des amis avec qui s'amuser et sortir tant qu'on le peut. Mais qu'advient-il de nous quand on ne peut plus? Quand le temps nous rattrape et nous murmure que la jeunesse est fini. Quand le visage se flétri et le corps se fatigue. Qu'advient-il une fois que les amis s'évanouissent un à un et que la famille disparait?
La vie est loin d'être un long fleuve tranquille et parfois, il faut l'admettre, on est pas trop de deux pour la supporter, avec son lot de problèmes, de factures impayés et de drames. Sans une épaule sur laquelle pleurer et juste "sa chemise pour se moucher", difficile de trouver du réconfort. Heureusement, la vie offre aussi plein de bonnes surprises avec son lot de bonheur et de joie, mais sans personne avec qui les partager, quel intérêt?
La plupart des anciens s'accordent à dire qu'il est plus facile de vieillir et d'avancer sur la route de la vie avec quelqu'un pour nous tenir la main, nous guider, nous montrer d'autres chemins, nous retenir lorsqu'on trébuche et pour apprécier la balade encore plus.
Mais comme disait un vieil ami à moi: c'est maintenant que tu vis, pas quand t'es vieux! la vieillesse on s'en occupera plus tard...quand on sera vieux!"
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